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Pseudo : chaton11 
Description du blog felin :
venez découvrir le petit monde des chats !!!!!
Création : Dimanche 23 Mars 2008
Dernier article : 23 Mars 2008
8 articles
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les races de chat 4 : le siamois |
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Le Siamois
HISTOIRE DE L'ESPECE
Les Siamois sont une des races les plus anciennes et vivaient déjà en Thaïlande au XIVème siècle. Ils vivaient peut-être dans l'ancienne cité d'Ayudha et sont mentionnés dans le livre des chats dès 1350 après J.C. Ce livre, qui est rescapé d'une vieille bibliothèque Siamoise, décrit des chats au corps très mince et au pelage pointed (les extrémités du chat, oreilles, queue, pattes, sont de couleur contrastée) qui ressemblent beaucoup à la race moderne. On a commencé à exporter ces chats à la fin du XIXème siècle.
Les véritables chats Siamois ont des pelages clairs de couleur chocolat, seal, lilas ou bleu. Cependant des éleveurs britanniques ont mis au point des Siamois de couleur rousse, crème et lynx, qui font partie d'une race à part les Colorpoint à poil court.
STANDARD DE L'ESPECE
C'est un chat long, souple et fuselé avec une tête étroite.
La tête est longue, triangulaire avec un museau fuselé, les yeux sont de taille moyenne, en amande, bridés et de couleur bleu, les oreilles sont très grandes, larges et pointues.
Le corps est de taille moyenne, gracieux, fin et soigné.
Le pelage est court, doux, fin, brillant et resséré.
La queue est longue, fine et s'effile progressivement.
Disqualifications: amaigrissement, problèmes respiratoires, queue inhabituelle, les yeux ne sont pas bleus, signes de faiblesse.
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Posté le Dimanche 23 Mars 2008 à 16h03 | Laisser un commentaire| 1 commentaire | Lien permanent
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les races de chats 3 : le chartreux |
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Le Chartreux
HISTOIRE DE L'ESPECE
La légende raconte que des chevaliers de retour des croisades ramenèrent ces chats en France. Ces chats furent confiés à des Chartreux au monastère de La Grande Chartreuse au XIVème siècle. Le Chartreux a toujours la réputation d'être une des plus vieilles races naturelles d'Europe. Bien que peu de d'animaux de pure race ne subsistaient à la fin de la deuxième guerre mondiale, des élevages sélectifs ont permis de sauver la race, qui commença un exode mondial à la fin des années 70.
Les moines Chartreux sont probablement à l'origine du nom de cette race, qui a la même corpulence que l'Anglais à poil court. Son pelage a toujours une couleur argentée, bleu gris.
STANDARD DE L'ESPECE
C'est un chat robuste, costaud, très agile avec un pelage épais.
La tête est large et ronde, avec un petit museau étroit, ses yeux sont larges, ronds, et varient de orange doré à cuivre, ses oreilles sont moyennes, hautes et dressées.
Le corps est robuste, vigoureux et puissant.
Le pelage est de taille moyenne, laineux (soyeux chez les femelles) et imperméable.
La queue est épaisse, effilée et souple.
Disqualifications: Queue inhabituelle, yeux verts, taches blanches impropres.
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Posté le Dimanche 23 Mars 2008 à 16h02 | Laisser un commentaire | Lien permanent
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les races de chats : le birman |
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Le Birman
HISTOIRE DE L'ESPECE
Habitants des temples souterrains, les Birmans étaient autrefois appelés les chats sacrés de Birmanie (maintenant Myanmar). Une légende raconte que des ennemis attaquèrent le grand prêtre Mun-Ha alors qu'il était en train de prier. Un chat aux yeux jaunes nommé Sinh sauta au dessus du saint homme qui était mourant et les yeux du chat devinrent bleus et ses pattes blanches.
Exporté en France au début du XXème siècle sous forme de présents émanant de prêtres birmans, cette race s'y est bien établie. Presque éteinte après la deuxième guerre mondiale, les Birmans se sont finalement multipliés en Europe et en Amérique du nord. La plupart des Birmans sont crème et seal point ou blue point mais beaucoup de clubs reconnaissent les red, lilas, chocolat, tortie ou lynx points.
STANDARD DE L'ESPECE
C'est un chat robuste, trapu avec des pieds tout blancs.
La tête est large, ronde avec un museau rond, les yeux sont bleu foncé, presque ronds et écartés, les oreilles sont de taille moyenne, large, arrondies et écartées.
Le corps est long, trapu et robuste.
Le pelage est de taille moyenne ou long, soyeux, lisse, avec une collerette autour du cou et des pieds tout blanc.
La queue est de taille moyenne et proportionnée.
Disqualifications: couleurs impropres ou absentes sur les pattes, queue inhabituelle, yeux qui louchent.
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Posté le Dimanche 23 Mars 2008 à 16h01 | Laisser un commentaire | Lien permanent
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les races de chats : l'angore turck |
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Angora turc
HISTOIRE DE L'ESPECE
Au XVème siècle, les chats Ankaras ou Angoras, vivaient près de Ankara, la capitale de la Turquie. Ils se sont ensuite rapidement reproduits en France et en Angleterre. Des croisements excessifs avec des Persans ont presque éteint la race au début du XXème siècle mais un programme d'élevage mené au zoo d'Ankara dans les années 1960 l'a sauvée. La race recréée porte maintenant le nom de Angora turc. Un effort similaire de renouveau aux Etats-Unis a créé une nouvelle race, communément connue sous le nom de Angora.
Les Angoras portent des pelages blancs, lavande, cannelle ou châtaigne. Les Angoras turcs ont généralement une couleur blanche mais peuvent avoir des pelages unicolore, tabby, fumé, calico, bicolore et écaille de tortue.
STANDARD DE L'ESPECE
Ce chat est robuste, gracieux et équilibré.
La tête est petite ou de taille moyenne, triangulaire avec un museau effilé, les yeux sont gros, légèrement bridés, en amande, les oreilles sont larges, longues, dressées et pointues.
Le corps est de taille moyenne ou gros, allongé, souple avec une ossature fine.
Le pelage est de taille moyenne ou long, brillant, lisse et légèrement ondulé.
La queue est longue, épaisse, effilée et basse.
Disqualifications: corpulence trapue ou carrée, queue inhabituelle.
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Posté le Dimanche 23 Mars 2008 à 15h59 | Laisser un commentaire | Lien permanent
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Être comme chien et chat
(se chamailler souvent)
Donner sa langue au chat
(ne pas deviner, demander la solution)
Un chat retombe toujours sur ses pattes
(se remettre facilement d’une peine ou d’un échec)
Avoir d’autres chats à fouetter
(avoir d’autres préoccupations plus importantes)
Avoir un chat dans la gorge
(être enroué)
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Posté le Dimanche 23 Mars 2008 à 15h00 | Laisser un commentaire | Lien permanent
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conte |
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conte :Le chat, le coq et la renarde I
(conte populaire russe)
Il était une fois un vieux qui avait un chat et un coq. Le vieux partit travailler dans la forêt, le chat lui apporta à manger et le coq resta garder la maison. A ce moment-là survint une renarde.
Cocorico, Coquelet
A la crête d'or !
Regarde par la fenêtre,
Je te donnerai un petit pois !
C'était la renarde qui chantait sous la fenêtre. Le coq ouvrit, passa la tête pour voir qui chantait. La renarde en profita pour le saisir dans ses griffes et l'emporter. Le coq se mit à clamer :
"La renarde m'emporte, moi Coq Coquelet, par-delà les lointaines contrées, par-delà trois fois neuf pays, dans le trois fois dixième royaume ! Chat de la Chattemite, viens me reprendre vite !"
Dans la pleine, le chat entendit le coq clamer, il se lança à la poursuite de la renarde, la rattrappa, lui reprit le coq et le ramena à la maison.
"Prends garde, Coq Coquelet, lui dit le chat, ne mets pas la tête à la fenêtre, n'écoute pas la renarde; elle te mangerait sans laisser de toi le plus petit os !"
A nouveau, le vieux s'en fut travailler dans la forêt et le chat lui porta à manger. Avant de partir, le vieux recommanda au coq de garder la maison et de ne pas mettre la tête à la fenêtre. Mais la renarde, que démangeait l'envie de faire un bon repas, veillait elle aussi. Elle s'approcha de la fenêtre et se mit à chanter :
Cocorico, Coquelet
A la crête d'or !
Regarde par la fenêtre
Je te donnerais un petit pois
Et, avec, de jolies graines !
Le coq marchait dans l'isba en se taisant. La renarde reprit sa chansonnette et jeta le petit pois par la fenêtre. Le coq goba le petit pois et dit :
"Non, renarde, ce n'est pas ainsi que tu me tromperas ! Ce que tu veux, c'est me manger sans laisser de moi le plus petit os ! -- Voyons, Coq Coquelet, qu'est-ce que tu vas t'imaginer ! J'ai seulement envie que tu viennes en visite chez moi, que tu fasses le tour de ma maison et voies un peu comment je vis !" Et elle reprit :
Cocorico, Coquelet
A la crête d'or !
Regarde par la fenêtre
Je t'ai donné un petit pois,
Je te donnerai de jolies graines !
A peine le coq eut-il passé la tête à la fenêtre que la renarde le prenait dans ses griffes. Le coq clame à tue-tête : "La renarde m'emporte, moi, Coq Coquelet, par-delà les bois profonds, par-delà les rives escarpées, par-delà les hautes montagnes ! La renarde veut me manger sans laisser de moi le plus petit os !" Dans la plaine, le chat l'entendit, il se lança à la poursuite de la renarde, lui reprit le coq et le ramena à la maison : "Ne t'avais-je pas dit, de ne pas ouvrir la fenêtre, de ne pas y passer la tête si tu ne voulais pas que la renarde te mange sans laisser de toi le plus petit os ! Cette fois-ci obéis-moi, car demain, nous irons encore plus loin !"
Pour la troisième fois, le vieux partit et le chat lui apporta à manger. La renarde en profita pour se faufiler sous la fenêtre et pour entonner sa chansonnette. Trois fois, elle la chanta, mais le coq tenait bon. La renarde dit : "Qu'est-il donc arrivé ? Coq Coquelet a perdu sa belle voix ! -- Non, non, renarde, n'essaie pas de m'abuser, je ne mettrai pas la tête à la fenêtre !" La renarde jeta par la fenêtre un petit pois et un grain de blé, puis elle chanta :
Cocorico, Coquelet
A la crête d'or,
A la tête qui brille !
Regarde par la fenêtre !
J'ai une grande demeure
Avec, dans chaque coin,
Une mesure de grains !
Il suffit d'en manger un brin
Pour ne plus avoir faim !
Puis elle ajouta : "Tu verrais, Coquelet, toutes les belles choses que j'ai chez moi ! Mais montre-toi donc ! Allons, cesse de croire le chat : si je voulais te manger, ce serait déjà fait. Non, vois-tu, je t'aime, je voudrais te sortir un peu, te conseiller et t'apprendre la vie. Mais montre-toi donc, Coquelet ! Allons, je vais me mettre au coin de la maison !"
Et elle s'embusqua tout contre le mur. Le coq sauta sur le banc et regarda de loin. Puis, comme il voulait s'assurer que la renarde n'y était pas, il pencha la tête à la fenêtre. La renarde l'attrapa et s'enfuit au plus vite.
Le coq clama à nouveau; mais le chat ne pouvait l'entendre. La renarde emporta le coq et le mangea à l'ombre d'un sapin. Il n'en resta rien si ce n'est les plumes et la queue, que le vent emporta. Lorsque le chat et le vieux revinrent à la maison, ils ne trouvèrent pas le coq. Ils pleurèrent, puis ils se dirent : "Voilà ce que c'est que de ne pas écouter !"
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Posté le Dimanche 23 Mars 2008 à 14h06 | Laisser un commentaire | Lien permanent
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poésie |
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poésie : Le petit chat blanc
Un petit chat blanc
qui faisait semblant
d'avoir mal aux dents
disait en miaulant :
" Souris mon amie
J'ai bien du souci
Le docteur m'a dit :
Tu seras guéri
Si entre tes dents
Tu mets un moment
Délicatement
La queue d'une souris."
Très obligeamment
Souris bon enfant
S'approcha du chat
Qui se la mangea.
MORALITÉ
Les bons sentiments
Ont l'inconvénient
d'amener souvent
De graves ennuis
Aux petits enfants
Comme-z-aux souris.
© Claude Roy, Enfantasques, Ed. Gallimard.
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Posté le Dimanche 23 Mars 2008 à 14h03 | Laisser un commentaire | Lien permanent
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histoire |
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un peu d'histoire :
Le chat domestique ou chat d'appartement est un mammifère carnivore de la famille des félidés. Le mot chat vient du bas-latin cattus (chat sauvage). D'après le Littré dans son édition de 1878, cattus proviendrait du verbe cattare, qui signifie guetter, ce félin étant alors considéré comme un chasseur qui guette sa proie.
Le chat domestique Felis silvestris catus est très proche du chat sauvage européen Felis silvestris silvestris et du chat sauvage africain (chat ganté) Felis silvestris libyca. Selon la plupart des zoologues contemporains, ces trois types de chats forment une unique espèce : Felis silvestris[1].
On dénombre aujourd’hui environ 80 races de chats.
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Posté le Dimanche 23 Mars 2008 à 13h59 | Laisser un commentaire | Lien permanent
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